Je ne cherche ni la provocation ni l’apaisement. Je ne crois ni dans la connivence avec le gouvernement, ni dans la connivence avec l’opposition, ni dans la connivence avec les institutions économico-financières internationales. Ils se montrent tous dépassés, sous-capables face au péril de l’économie, de la gourde et de la société. Quant aux potentielles conséquences de mon « ni-ni-ni-ni-ni », peu me chaut. Libre, je n’ai de compte à rendre à personne. Le proverbe haïtien traduit mieux mon état d’êtr
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