L’absence de débouchés et ses conséquences sociales

 La pauvreté est dégradante, avilissante.

Jean-Claude Boyer
Par Jean-Claude Boyer
01 déc. 2020 | Lecture : 3 min.

 La pauvreté est dégradante, avilissante. Elle se traduit par une trop longue station en-dessous d’un seuil de revenu. Avec le temps, le référent, le marqueur, admet-on selon les études de la Banque mondiale, est de gagner moins de deux dollars par jour. Effectivement, il y en a qui sont loin de dépasser ce seuil. L’explication tient en ce que la richesse produite est soit mal répartie, soir nettement insuffisante. Mais il faut aussi tenir compte de la démographie galopante. Depuis Thomas Robert Malthus avec son « Essai sur

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.