Marqué par l’insécurité, le Bicentenaire, où est logé le palais de justice de la ville peu après le 12 janvier 2010, est délaissé par les institutions publiques et privées qui fonctionnaient dans la zone. Seuls le parquet de Port-au-Prince et le tribunal de première instance qui ont repris timidement leurs activités y demeurent. La juridiction des référés fonctionne, les audiences correctionnelles sont reprises et certaines chambres commencent un tant soit peu à entendre des affaires.
Les audiences criminelles avec assistance de
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