Il n'y a rien d'étonnant qu'une enfant de 12 ans prenne la parole en premier dans une cérémonie commémorative de la journée internationale des enfants. Mais quand elle le fait avec une telle aisance, il paraît judicieux que les organisateurs aient misé sur cette fillette pour donner le ton à cette activité qui voulait rappeler que tous les enfants sans distinction aucune ont des droits subjectifs et inaliénables. Et de rappeler que Haïti, qui a ratifié la convention sur les droits de l'enfant depuis plus de 25 ans, a l'obligation de
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