Les réactions sont vives et partagées, quant à l’idée de prévoir l’application de la peine capitale contre les kidnappeurs et violeurs. Elles sont majoritaires, celles des femmes qui souffrent dans leur corps et dans leur âme, le traumatisme de cette infamie, de cette humiliation. Qu’elles soient déjà victimes ou qu’elles vivent quotidiennement dans l’épouvante de cette atrocité. Les réactions mitigées proviennent, surtout, de ceux qui — par on ne sait quelle pruderie ou quel humanisme mal placé — rejettent l’idée d’ôter la vie à quelqu’u