Depuis deux semaines les audiences criminelles sans assistance de jury ont repris au palais de justice de Port-au-Prince. Le greffe du décanat, de concert avec le parquet, fait la mise en état des dossiers pénaux.
Selon le doyen du tribunal de première instance de Port-au-Prince, le juge Bernard Saint-Vil, bien avant la paralysie des activités due à l’arrêt de travail des greffiers qui exigeaient la satisfaction de leurs revendications, les audiences ont été fixées en vue de désengorger le plus grand centre carcéral du pays
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