L’artiste muraliste déambule de quartier en quartier. Il y dépose son empreinte. Et l’environnement encombré devient une renaissance qui s’assume.
C’est au cours d’une flânerie au Bas Peu de chose que je retrouve le muraliste Assaf. Du côté de la Rue Cadet Jérémie et en face de la place Jérémie, il continue à désinfecter nos murs. Son style a fini par me convaincre que ce génie graphique méconnu par l’establishment artistique de la capitale donnera à tout ce beau monde une incurable culpabilité.
La rue Cadet Jérémie fo
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