L'ancien président bolivien Evo Morales, chassé du pouvoir sur fond d'accusations d'élections truquées il y a un an, a annoncé mardi qu'il rentrera "possiblement" dans son pays le 9 novembre.
L'ex-chef de l'Etat, qui a vu son ancien ministre de l'Economie Luis Arce remporter haut la main l'élection présidentielle du 18 octobre, envisage de rentrer par la route en Bolivie, en provenance de l'Argentine voisine, où il a trouvé refuge en décembre dernier.
"Il y a différentes propositions, les mouvements sociaux en discuten