Le Dr Paul Edward Farmer, une vie sans faux combats

Chaque fruit a ses saisons et chaque saison a ses fruits ! Ainsi, le XXeme a vu naître des hommes de nationalités différentes et de rêves épars cherchant à concilier leurs pensées pour pouvoir sauver le monde de l’abîme, du chaos et de la souffrance. Et il n’est pas toujours facile de lutter contre son égoïsme pour faire primer le bien-être collectif sur l’intérêt individuel. Par contre, il n’est pas digne de jeter aux oubliettes les travaux exceptionnels des grands hommes qui se battent pour épargner l’humanité du terrible drame qui l’attend et de l’épouvantable sort qui le poursuit. En ce sens, parlons de Paul Farmer.

Nerval Dorvil
Par Nerval Dorvil
29 oct. 2020 | Lecture : 39 min.

Né sous le pavillon des 52 étoiles le 26 octobre 1959 à North Adams, dans le Massachusetts, dans une famille d’environ 6 enfants dont il fut le second, Paul Edward Farmer ne savait pas ce qu’il allait devenir. En grandissant, il avait assurément ces visions du monde qu’il est en train de concrétiser. Très jeune, le petit Farmer, ses frères et soeurs et sa maman furent conduits en Alabama par leur père sous prétexte de vacances. C’était en 1966 ; et à leur arrivée, Monsieur Farmer les installa dans un bus où l’on soignait des victimes

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