En ce mois de la langue et la culture créole, il nous a paru opportun de parler de diglossie et de glottophobie qui sont des problèmes de droits linguistiques[1] confrontés par moult individus en Haïti comme ailleurs. Les manifestations desdits problèmes changent d’un pays à un autre, d’une société à une autre car la vision de la langue change d’un pays à l’autre, d’une société à l’autre. L’élément commun restant que dans tout pays et dans toute société, un groupe social voudra avoir l’hégémonie et imposera donc sa vision de la langue
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous