La main. L'eau. Le sang. Trois termes qui reviennent constamment sous la plume d’Adelson Élias à travers son recueil de poème intitulé « Les limbes qui tremblent, suivi de Adlyne de sel et d'eau ». Il associe à ces trois constantes d'autres réalités comme la rue, la ville, le silence. Comme si tout le pays saigne, c'est dans la complicité la plus exténuante des passants et le mutisme le plus révoltant.
Dans ce livre, il est dit que la parole est bâillonnée. Menottée. Il est dit que la peur élit domicile
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