J’ai 103 ans. Inutile de vous dire qu’après avoir tant lutté pour mon pays et sa jeunesse, combien je suis triste d’être sur le point de partir en laissant mon pays en lambeaux, nos élites divisées et la majorité dans la misère, à la merci de gangsters et d’assassins sans foi ni loi.
Tous les jours, il est question de « kraze-brize », de brûler biens publics et privés, même des écoles et centres universitaires, d’énumérer les noms de nouvelles victimes ou groupes de victimes comme ceux des drames de La Saline et de Saint-Lou
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