« Nous avons demandé au gouvernement d’éviter dans la mesure du possible d’utiliser la monétisation du déficit, d’utiliser au maximum le cash management, d’augmenter les recettes de l’État sans pour autant harceler ceux qui payent déjà, c’est-à-dire en augmentant l’assiette fiscale en allant vers ceux qui ne payent pas, en particulier les contrebandiers », a déclaré Bernard Craan tout en réclamant de l’Etat le respect des accords conclus entre le MEF et la BRH pour utiliser dans la mesure du possible le cash management.
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