« Ce qui fait défaut à l’actuel Conseil électoral provisoire, c’est l’absence de consensus. C’est un Conseil électoral contesté, dès le départ. Il n’existe aucun moyen d’entrer dans un processus électoral inclusif avec un CEP aussi contesté… », soutient l’homme de loi, estimant que la publication de l’arrêté nommant le CEP de cette manière a été une « maladresse, une précipitation » de la part de l’exécutif.
Pour Michel Brunache, nous sommes dans une situation de crise. Nous n’avons pas intérêt, sel