Il ne nous reste que nos yeux pour pleurer des compatriotes emportés par les vagues de la mer ou les rivières en crue, à divers moments de la vie et à l’occasion de chaque saison cyclonique. Comme s’il s’agissait d’une grande fatalité survenue après que le désespoir a poussé des frères et sœurs de catégories sociales défavorisées à affronter des océans, en quête de terres plus clémentes. Comme s’il s’agissait d’une malédiction résultant du choix qu’on a fait de vivre dans ce pays, devenu très vulnérable face à toutes sortes de calamité ,c
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous