La note du Bureau intégré des Nations unies sur la situation sécuritaire en Haïti la semaine dernière avait fait des vagues. Mais une phrase en particulier avait retenu l’attention de James Boyard, professeur de droit international privé. Il s’agit de la phrase dans laquelle le BINUH rappelle que « ces violations pourraient constituer des crimes internationaux en vertu du droit relatif aux droits de l’homme et constituent également des crimes relevant du droit pénal haïtien ». « La note du BINUH avait c
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