J’ai un grand malaise à écouter M. Jean Rebel Dorcénat, le porte-parole de la Commission nationale de désarmement, démantèlement et réinsertion (CNDDR). Il m’a l’air de quelqu’un très courageux. Il semble vouloir aider à établir l’ordre et la sécurité à travers le pays, ce qui passera nécessairement par le désarmement ou le démantèlement des gangs armés. Or, pour les désarmer ou les démanteler, il faut détenir une force et/ou une intelligence supérieures. Il s’avère incontestable que la CNDDR n’a pas les moyens de sa politique. Même la Po
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