D’entrée de jeu, le gouvernement relève l’absence de cadre juridique définissant la régulation, le contrôle et l’évaluation de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique dans le pays. Il évoque non seulement la faiblesse des structures de gestion mais aussi la mauvaise gouvernance et le faible niveau de développement du secteur. Notant l’absence de l’exercice du pouvoir législatif, l’exécutif croit qu’il y a alors lieu de légiférer par décret sur les objets d’intérêt public.
Avec pour mission de rég
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