« Le Conseil électoral provisoire et Siméus devront faire un acte magnanime », a estimé mercredi l'ancien Ambassadeur Edwidge Lalanne. Les élections, dit-il, avec les retards accumulés et les difficultés qu'affronte l'institution électorale, ne pourront pas avoir lieu avant six mois. La date constitutionnelle de la future transmission du pouvoir, 7 février, n'est pas plus importante que les intérêts du pays, a conclu l'ex-ambassadeur qui intervenait sur les ondes de Radio Vision 2000. Des doutes sur la tenue des prochaines élections présidentie