Jean-Robert Hérard | Interview

Les premières dames haïtiennes de 1957 à nos jours

Pris dans le confinement total décrété par les autorités sanitaires de New York en raison de la propagation de cette pandémie de coronavirus qui frappe durement cette ville, Jean-Robert Hérard, qui était venu aux États-Unis depuis le mois de mars pour la promotion de son dernier livre sur les Premières dames de la République d’Haïti, se retrouve prisonnier malgré lui dans une chambre, à lire, à tapoter sur le clavier de son ordinateur et à regarder la télé à longueur de journée… La maladie ne l’a pas atteint heureusement et son moral est au beau fixe… Pierre Clitandre, lui aussi coincé en Californie par cette même pandémie, dans la coquette ville de Goleta, a pu atteindre par téléphone son ami et confrère et a voulu aller plus loin avec lui….

Pierre Clitandre
01 oct. 2020 — Lecture : 10 min.

Le Nouvelliste (L.N.) : Comment vous vous êtes pris pour écrire sur les Premières dames haïtiennes de 1957 à nos jours?

Jean-Robert Hérard (JRH) : Je vais vous dire ce qui m’a réellement motivé. Pour avoir vécu de longues années aux États-Unis d’Amérique, je sais ce que veut dire une femme aux côtés d’un président, l’influence qu’elle exerce et l’image qu’elle projette. L’histoire des First Ladies des États-Unis m’a toujours fasciné. Je prends les exemples les plus récents : le glamour fascinant de Jackie Kennedy qui a

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