Emeline Michel dans tous mes songes de poète errant

En ce mois de juin ou le printemps exécute son énième pas de tango, je regarde l'une de tes photos en noir et blanc du célèbre photographe Antonio Bruno dans ma chambre balayée par le soleil au rythme de tes chansons, dirait-on, lointaines, mais encore fraiches comme la rosée des clair-matins.

   André Fouad   
Par    André Fouad   
04 juin 2020 | Lecture : 3 min.

En ce mois de juin ou le printemps exécute son énième pas de tango, je regarde l'une de tes photos en noir et blanc du célèbre photographe Antonio Bruno dans ma chambre balayée par le soleil au rythme de tes chansons, dirait-on, lointaines, mais encore fraiches comme la rosée des clair-matins.

Au nom de la déesse Erzulie, au nom de toutes les femmes issues des entrailles des soleils et des terres brûlées, je veux te rendre cet hommage et te remercier infiniment pour ton courage démesuré,  ton talent de chanteuse in

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