« Absence d’eau potable et de nourriture, lits dépourvus de matelas, saleté, odeur nauséabonde… ». La voix désolante d’Atros nous dresse le sinistre portrait de cette maison de transit pour enfants des rues qui est sous la tutelle du ministère des Affaires sociales. La Covid-19 a poussé le rappeur vers ce centre du bas de Delmas où séjournent encore quelques enfants. Malgré tout. « C’était extrêmement insalubre. Les enfants font leurs besoins à même le sol, dans la cour. Ils n’avaient ni eau potable ni no
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