Le dialogue favorise la pensée chez l’homme. C’est ce que Denis Diderot expérimente à travers son conte « Ceci n’est pas un conte » écrit en 1772, comme dans toutes ses autres œuvres d’ailleurs. Dépouillé de la manière traditionnelle qu’on écrivait les contes dans lesquels l’auditeur était passif comme dans certaines représentations théâtrales (Jacques Rancière, 2008: 8-9) ou cinématographique, Diderot tend à établir un échange avec ce dernier tout au long de la progression du récit comme dans la vraie vie.
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