Dans une lettre en date du 5 mai 2020, le Conseil supérieur du pouvoir judiciaire a autorisé le doyen du tribunal de première instance de Port-au-Prince de recevoir des représentants du CSPJ, du Réseau national des magistrats haïtiens, du Bureau intégré des Nations unies en Haïti et de la Direction de l’administration pénitentiaire (DAP). Ces derniers devaient expérimenter un projet de visioconférence qui rentre, selon le CSPJ, dans le cadre d’un plan de décongestionnement des prisons, pour faire face à l’urgence de la Covid-19.
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