Avec le coronavirus, la nature reprend ses droits dans plusieurs pays. L'habitat de la population ailée est moins menacé. L’homme, cet éternel prédateur, mobilise ses pensées sur le Covid-19, un ennemi invisible qu’il n’arrive pas à contrôler. Dans ce contexte, l’homme qui se prenait pour le centre du monde se voit de plus en plus qu’il n’est qu’un simple maillon dans la chaîne de la vie qui se déroule depuis des millénaires. Cet être fragile parmi tous les êtres a cependant le pouvoir d’exalter la beauté qui sommeille dans la nature
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