En Haïti, il est rare qu’une institution ou une personne présente des excuses pour le mal qu’elle a fait, et accepte qu’elle a eu tort de poser tel acte ou d’avoir tenu tel discours. C’est un peu le tout permis sans conséquence.
On dirait aussi que les gens, quand ils se fâchent, manifestent difficilement leur mécontentement (nous ne parlons pas évidemment des protestations collectives de désapprobation des politiques). Il y a toujours quelque chose à préserver et des intérêts qui font accepter même l’indigne et l’ins
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