Si Stendhal (Henri Beyle) était de notre siècle, il confesserait sûrement qu’à la place du roman le cinéma serait le miroir que l’on promène le long d’une route. Le célèbre auteur de «Le Rouge et Le Noir» y verrait que le monde actuel se lisait allègrement à travers une scène de Tarantino, de Cronenberg ou de Spielberg qu’il le transparaît dans un passage de Kafka, de Brown ou d’Orwel. Il ne faut pas y voir ici une quelconque velléité de substituer un art jugé jadis rustre à un autre qui n’a jamais cessé de faire ses preuves. La vérit
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous