Chaque jour, nous mettons le feu à notre maison. Ce n’est pas qu’une métaphore pour parler du réchauffement climatique, c’est plus proche et plus intime que cela. Il s’agit de notre ville, de nos quartiers. Ces jours-ci nous avons un petit peu plus de temps, malgré nous, pour regarder, nous apitoyer, rejeter les fautes sur les autres. Il y a des détails qui nous sautent à la figure, nous troublent, nous laissent songeurs. Nous nous rendons un peu plus compte combien nous avons tout perdu, combien nous nous sommes appauvris à tous poin
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