Déjà il a des sourires que l’on ne voit plus. Qu’on ne verra peut-être plus. Masques sophistiqués et artisanaux les couvrent. On devine des dents, des rictus inquiets, des regrets aussi.
Nous avons été projetés, sans transition, dans un temps où les visages se sont emmêlés, poussant le monde et ses diversités - tellement glorifiées au début de siècle - dans un étrange territoire de neutralité où sont bridés l’odeur, le toucher, le goût. Quant à la vue, le mètre ou le mètre cinquante évitera probablement que tout ne s’éteign
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