Un dimanche de Pâques sans les bandes de rara sur la grand-rue de Léogâne, sans le son des instruments qui défie les décibels sur les stands, notre génération ne l'a vu qu'une fois. C'était il y a dix ans, après le séisme de 2010 qui avait interrompu la répétition des bandes à pied. Mais cette année, c'est différent. Contrairement à 2010, la saison avait déjà démarré quand les deux premiers cas de coronavirus ont été déclarés dans le pays, obligeant les autorités à interdire tout rassemblement de foule sur le territoire. Autre différe
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