Tout faire pour ne pas perdre l’année scolaire, j’y croyais en novembre dernier dans un article publié sur le site du Partenariat Mondial pour l’Education[1] : « Laisser les enfants d’Haïti retourner à l’école”. J’insistais en invitant toutes les parties à travailler ensemble « pour permettre au moins aux enfants de retourner immédiatement dans le cadre sécurisant de leur école, parce qu’il ne fait aucun doute que cette situation a des conséquences graves sur des millions d’enfants en Haïti, victimes innocentes. »