Lorsque la mort vous sépare, il ne reste plus qu’à se taire
même l’absence d’un ami cause une douleur infinie
des marécages empoisonnés, au sud du fleuve
toi, l’exilé, tu ne m’envoies aucune nouvelle
tu es enfin venu à moi en rêve, mon ami
c’est que tu sais combien je pense à toi.
Je me demande si c’était réellement toi.
D’aussi loin, je n’ai pu m’en rendre compte
Ton âme s’approchait par la verte forêt d’érables.
Quand elle s’est détournée, le c
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