Quand on refuse de parcourir un ou deux kilomètres à pied, sur des trottoirs boueux, couverts de poussière, pour se rendre au centre-ville en sortant de Carrefour, Gressier ou Léogâne, il faut rester plusieurs heures coincé dans un autobus ou un tap-tap. Dans ce décor apocalyptique que présente le tronçon du boulevard Harry Truman (Cité de L’Eternel – Théâtre national), de temps à autre, des chauffeurs essayent difficilement de se frayer un chemin en dépit de la menace des bandits qui occupent le littoral bidonvillisé au Bicentenair
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