Le prétexte du théâtre de Juan Ruiz de Alarcón

                                   Jean-Rénald Viélot              Le penchant le mieux accusé et le plus clair et fort du théâtre de Alarcón, c'est la trace d'un stigmate de la saillie du dos, sentie par contrecoup par devant, que les analystes s'accordent à reconnaître dans le caractère personnel des thématiques présentées.

Le Nouvelliste
Par Le Nouvelliste
23 mars 2020 | Lecture : 12 min.

                               

   Jean-Rénald Viélot 

            Le penchant le mieux accusé et le plus clair et fort du théâtre de Alarcón, c'est la trace d'un stigmate de la saillie du dos, sentie par contrecoup par devant, que les analystes s'accordent à reconnaître dans le caractère personnel des thématiques présentées. Ce penchant se manifeste à un vaste pan de

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