À cause des différents mouvements « peyi lòck », le cycle d’instabilité socio-économique et politique sans précédent, la violence criminelle aiguë et de violations systématiques des droits humains, notamment celui à la vie, le pays vient de vivre une année difficile, jugent les militants de droits humains du Centre d’analyse et de recherche en droits de l’homme (CARDH). Cette situation tend à se pérenniser dans le contexte global d’une gouvernance se distinguant par : un désintéressement aux droits de la personne&n
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