Le directeur exécutif du Réseau national de défense des droits humains (RNDDH) Pierre Ésperance a imputé la responsabilité de la remontée du kidnapping et de l’insécurité généralisée à la mauvaise gestion des autorités en place. Le manque d’équipements appropriés au travail des policiers, l’alimentation en munitions des bandits par des proches du gouvernement, le service d’intelligence en dysfonctionnement sont autant de situation favorisant la libre propagation du banditisme, a souligné le défenseur des droits humains qui dit attendre le