Comme si la population haïtienne n’était pas au bout de ses peines, de ses misères, désormais, elle vit une épreuve plus grande : la peur d’être touchée par l’arme fatale du kidnapping. Elle est aveugle, personne n’est à l’abri. Elle court les rues, aucun espace n’est exempt. Elle devient banale, chaque jour une famille ou dix peuvent être touchées. Elle s’impose comme une fatalité, puisque les autorités actuelles ne semblent pas s’en inquiéter. Elle est nuisible, funeste, mortelle, puisqu’elle empoisonne la vie de toute une populati
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