« W al pase nan VAR la avè m chofè ». La flippante ritournelle des habitués de la route nationale #2, contraints d’emprunter le Bicentenaire de Port-au-Prince, siège de plusieurs institutions étatiques, dont le Théâtre national. Cette zone, la VAR comme ils l’appellent, devient depuis longtemps déjà un champ de tirs à ciel ouvert, un cauchemar incessant, une source de stress incessant.
Sur cette voie reliant l’Ouest à quatre autres départements, on n’est jamais trop prudent. Un moment de calme apparent peut, en un clin
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