Le gouvernement, qui liquide encore les affaires courantes, a décidé de lancer, sans crier gare, la période pré carnavalesque, sans se soucier de l’inquiétante question sécuritaire générale du pays. Alors que, généralement, cette période de réjouissances populaires charrie des vagues de violence, et, dans les moments de grande tension politique, des poussées de polémique clanique et/ou partisane. Ce premier dimanche a, bizarrement, coïncidé avec un affrontement sanglant et meurtrier, de plusieurs gangs armés qui établissent, depuis longte
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