Qu’on habite à Martissant, Grand-Ravine, Bois-Verna, Thomassin, Delmas… il est difficile de n’avoir pas remarqué les mots « Le poème tué » griffés sur les murs, sur les séparateurs de certaines routes… Il s’agissait pour Guy Régis Junior et consorts d’interpeller l’opinion publique sur un développement endogène de plusieurs types de violence à travers le pays. « J’y pensais depuis deux ans, les tags ont commencé à paraître autour de juin. Et malheureusement hier encore Martissant était ensanglanté », dépl
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