Per fas et Ne fas, envers et contre tout, le Festival de jazz de Port-au-Prince nous est revenu pour une quatorzième édition. Non sans mal d’ailleurs ; car après ces mois de «lòk» qui ont mis en loque les énergies, les ressources et le moral de maintes personnes, on ne croyait pas qu’un tel évènement pouvait avoir lieu. Beaucoup de sponsors d’ambassades et de partenaires habituels ont désisté ou se sont abstenus. D’autres, tenaces et téméraires, ont tenu absolument à l'organisation de cette manifestation culturelle, devenue
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