Malgré ce boom de l’injection des milliards de billets verts dans l’économie nationale, Port-au-Prince éprouve encore toutes les peines du monde à réorienter cette manne sans contrepartie vers l’investissement et la production en lieu et place de la confortable fonction de consommation qui lui est essentiellement destinée jusqu’ici. Retour sur la décennie 2010 caractérisée par la hausse sans précédent des transferts d’argent de la diaspora vers Haïti qui, à défaut d’être mieux canalisée, n’aura servie in fine qu’à doper les imp
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