La fiche technique du projet de reconstruction de l’hôpital est presque illisible à la rue Monseigneur Guilloux. Elle est terne comme le chantier où sont érigés deux sites de bâtiments. C’est le calme plat depuis sept mois. Les travaux, pour une énième fois, sont interrompus. À la place des ouvriers, des herbes sauvages et des rongeurs occupent le chantier. La poussière surplombe les persiennes ainsi que le matériel qui y est entreposé. « Je n’ai pas la date exacte de la finition des travaux. Ils sont à 85% achevés »
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