Ne se préoccuper que de la formation, étant dans une salle, est un luxe que des élèves qui vivent dans les quartiers défavorisés contrôlés par les gangs ne peuvent pas se permettre. Leur quotidien est fait de violences et de peur. Les élèves des écoles nationales Hermann Héraux (4e avenue) et République du Pérou (Martissant 1), ceux des lycées de La Saline et Jacques Roumain de "Gran-Ravin" sont constamment privés de jours de classe quand les groupes armés s’entredéchirent dans l’indifférence des autorités. Le plus souvent, ces écoles son
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