Vu les récents évènements, la pauvreté et la prolifération des gangs armés forment un binôme presque parfait. La police pourra multiplier les interventions, mais si les réels problèmes de misère, d’absence de services de base ne sont pas abordés par des politiques publiques efficaces, la solution peut rester à mille lieues d'autres lieux. D’ailleurs, les décennies d’échecs de la prise en charge de l’État haïtien de ces quartiers précaires ont considérablement renforcé l’emprise des bandits.
Le sénateur Jean Renel Sé
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous