« Les agressions et crimes commis contre les journalistes sont malheureusement de plus en plus fréquents en Haïti », a d’entrée de jeu lâché la directrice de l’UNESCO en Haïti, Pilar Alvarez, à l’ouverture de l’atelier. Plus récemment, durant la période de « peyi lòk », beaucoup de journalistes ont été agressés, a rappelé la directrice, estimant qu’il est important que chaque pays dispose d’un ensemble d’instruments pour mettre fin à l’impunité des crimes commis contre ces derniers.
L’un des buts de
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