« Quand les journalistes sont les cibles d’actes de violence, c’est la société tout entière qui en paie le prix »

C’est autour du thème « Renforcer la coopération nationale pour la sécurité des journalistes en Haïti »  que l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO)  a organisé, le mercredi 18 décembre à l’hôtel Le Plaza, un atelier de réflexion réunissant des représentants d’associations de médias et de journalistes, des dirigeants du Conatel, des responsables d’organisations nationales et internationales, des organismes de défense de droits humains et des ambassades des États-Unis et du Canada.

Worlgenson Noël
Par Worlgenson Noël
18 déc. 2019 | Lecture : 6 min.

 « Les agressions et crimes commis contre les journalistes sont malheureusement de plus en plus fréquents en Haïti », a d’entrée de jeu lâché la directrice de l’UNESCO en Haïti, Pilar Alvarez, à l’ouverture de l’atelier. Plus récemment, durant la période de « peyi lòk », beaucoup de journalistes ont été agressés, a rappelé la directrice, estimant qu’il est important que chaque pays dispose d’un ensemble d’instruments pour mettre fin à l’impunité des crimes commis contre ces derniers.

L’un des buts de

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