« Nous avions demandé aux magistrats de faire preuve de prudence, jusqu’à ce que leur sécurité soit garantie. Dès que le calme revient, ils pourront aller travailler normalement », explique au journal Wando Saint-Villier, nuançant qu’il ne s’agissait, en fait, que d’une grève observée par les magistrats comme pour faire passer une revendication particulière.
Si dans certaines villes relativement calmes des tribunaux de paix continuent de fonctionner, d’autres ont été contra