Pour le ministre des Affaires étrangères Bocchit Edmond, le dialogue est toujours possible. « L’essentiel, c'est qu'il faut de la volonté politique des deux côtés. Il nous faut aussi beaucoup d’abnégation en laissant derrière nous les intérêts personnels et en priorisant les intérêts nationaux », soutient celui qui estime qu’il s’agit d’une aberration de dire qu’il n’est plus possible de parler à un compatriote, un président. C’est incroyable, martèle le chancelier pour répondre aux détracteurs de Jovenel Moïse.
Le ministre Edm
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