S’il est une matière dans laquelle, Frantz Jeanty n’avait pas la moindre rivalité à l’école, c’est bien le dessin. « J’avais toujours la meilleure note pour cette matière qui ne représentait pas grand-chose dans la moyenne générale », confie l’homme qui a adopté Adou Manje Gèp comme nom d’artiste.
À l’école, en primaire, l’artiste est mû par une passion puérile, mais vers la fin du secondaire, le dessin et la peinture sont devenus la principale source de financement de cette famille pauvre de Cité Boston. « Mon père ne pouvait plus pay
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous