Vingt jours, ni plus, ni moins. C’est le délai accordé par le gouvernement des Bahamas aux communautés sans papiers de l’île pour se remettre de l’ouragan Dorian avant de reprendre les mesures d’expulsion. Les migrants, qui n'avaient d'autre choix que de rester dans des abris gouvernementaux après la destruction de leurs maisons, ne savent plus à quel saint se vouer.
«Nous respectons le fait que le pays a des lois et peut les faire respecter, mais ce n'est pas le moment d'appliquer ces lois», a déclaré Marleine Ba